Commentaire de L’enfoiré
sur Un Cuba libre, por favor
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Taverno de los poetas,
J’aime l’espagnol. Je l’ai appris, j’avais à peine une vingtaine d’année avec les moyens du bord : Assimil, Marabout Flash....
Je vais te raconter une anecdote.
Je devais allé à madrid pour le bureau. En descendant de l’avion, vite un taxi. A bord, le silence. On roule vite pour oublir le temps.
J’ouvre mon « clapet » avec mon plus bel Espagnol, du souvenir. Car ce n’est tous les jours que l’on l’occasion de parler « exotique ».
Résultat : voilà que tout à coup, l’ambiance avait une chaleur qui ne venait plus uniquement du soleil. Nous avons sympathisé. C’est à peine s’il ne m’invitait pas à souper. Mais je ne pouvais pas évidemment. Cela se passait en 1998.
Voilà. Juste retour des choses.
Les gens peuvent le faire, mais encore faut-il leur donner les moyens. (désolé, je n’ai pas d’emoticon avec un soleil)